Le PVC veut tripler son recyclage

L’industrie européenne du PVC a annoncé ce 22 juin ses plans pour tripler la quantité de PVC recyclé d’ici 2020. L’initiative VinylPlus se fonde sur le programme Vinyl 2010, qui fut une réussite, en permettant de collecter et recycler 250.000 tonnes de PVC par an.
 
Le programme qui va suivre a relevé l’objectif à 800.000 tonnes de PVC par an d’ici 2020, dont un huitième «devra être traité en utilisant des technologies innovantes», afin de faire face aux produits difficiles à recycler.
 
L’industrie compte également introduire un nouveau système de certification et d’étiquetage pour aider les utilisateurs à identifier et donner priorité au PVC produit de manière durable. VinylPlus peut même se targuer du soutien effectif d’une ONG, The Natural Step.
Source : Le journal de l’environnement

Bilan de la Deuxième Édition du Colloque régional aquitain Eco-conception

153 c’est le nombre de participants qui donnée à cettedeuxième Edition du Colloque régional Ecoconception.
Durant ce colloque, la CCI des Landes et la CCI de Bordeaux souhaitaient sensibiliser les entreprises sur l’intérêt d’intégrer l’Environnement au coeur de leur stratégie d’Innovation pour se démarquer de la concurrence et gagner
nouvelles parts de marché.
4 grands temps forts :
– La définition du besoin : quelles sont les attentes du consommateur en matière
d’environnement ?
– Une table ronde sur « L’Environnement, partie intégrante de la stratégie des
entreprises » autour de l’exemple de 2 entreprises et d’interventions d’experts.
– La présentation des outils et méthodes de l’Eco-innovation
– Des ateliers déclinant l’Eco-innovation en trois thématiques : Eco-technologie, Eco-Design et l’Eco-conception
La diversité et la qualité des interventions, ainsi que la pertinence des contenus, ont été vivement appréciées par les participants. Le concept du colloque, qui consiste à traiter en matinée le thème de la journée de manière «théorique» avec des retours d’expériences d’ordre national et un après-midi plus orienté «opérationnel» avec des témoignages régionaux et locaux permet aux entreprises de s’approprier les clefs de réussite .
Ce colloque a permis également à de nombreuses entreprises d’échanger entre elles sur différentes thématiques et expériences.
Pour télécharger le bilan complet : Newsletter bilan Colloque juin 2011

Les utilisations industrielles des cultures: les bioplastiques

A polymer is a substance with a structure formed of many identical small organic molecules bonded together.
A plastic is a synthetic material made from a wide range of organic polymers.
A bioplastic is a plastic made using renewable biomass.
A mixed bioplastic is a plastic derived from both renewable biomass and fossil fuels.
Bioplastics are manufactured using biopolymers which offer a renewable and sustainable alternative to oil-based plastics (petroplastics). Other advantages of bioplastics include novel functional properties and relatively low greenhouse gas (GHG) emissions during manufacture (see table).
Bioplastics can be produced from plant starch, cellulose, lignin (wood), oils and proteins.
Like petroplastics, bioplastics are compounds constructed of linked molecules that form long polymer chains (biopolymers).
Most, but not all, bioplastics can be broken down in the environment by micro-organisms (as part of the ‘carbon cycle’ – see below) in a process called ‘biodegradation’. This process produces carbon dioxide (CO2) and water (H2O) under aerobic conditions or methane (CH4) under anaerobic conditions (in the absence of air) such as in landfill.
Mixed bioplastics are usually biodegradable, but some are not and can be either recycled or processed for energy recovery.
Note that items labeled as ‘biodegradable’ should not be confused with those marked as ‘degradable’. The latter materials break down in the environment by chemical rather than biological means.

Click here to download the complete document: Bioplastics

Présentation d’INDAR au séminaire TA.

IndarLe 9 juin, l’entreprise TA spécialisée dans les appareillages d’analyse thermique, thermomécanique et rhéologique a organisé un séminaire à l’intention de ces clients au Centre de Recherche Paul Pascal de Bordeaux. De nombreux industriels et d’universitaires aquitains s’étaient donnés rendez-vous afin d’échanger sur ces différentes techniques de caractérisation.
RESCOLL, en tant qu’utilisateur d’appareillage TA, était présent et y a présenté par Tomas Bergara, les résultats expérimentaux de travaux réalisés autour du procédé de démontabilité d’assemblages collés structuraux INDAR. La présentation abordait la mise en évidence des mécanismes mis en jeu lors de la démontabilité par l’intermédiaire de différentes techniques d’analyses thermiques et thermomécaniques comme la DSC, l’ATG ou encore la TMA.

Plus d’infos : tomas.bergara@rescoll.fr

Fabrication d’une planche de surf sans COV !

Cette vidéo est le fruit du travail réalisé dans le cadre de l’Action Collective STYRENE FREE, dont le but était d’adapter la technique d’infusion sous vide à la stratification de planches de surf. Une démonstration a été réalisée au sein des ateliers FATLINES à Anglet (64).

Un nouvel outil d’évaluation environnemental pour Rescoll

Face aux demandes de ses clients, Rescoll a décidé d’aquérir un outil d’aide à la réalisation des FDES, les Fiches de Déclaration Environnementales et Sanitaires.

Il s’agit du format de communication national sur les caractéristiques Environnementales et Sanitaires des produits de construction et de décoration ou, en d’autres termes, de la carte d’identité environnementale d’un produit.

Ces fiches sont par exemple demandées lors de la conception de bâtiments HQE (Haute Qualité Environnementale) et de plus en plus de fabricants de produits de construction en dispose. Ceci s’explique notamment par le fait que leur diffusion pourrait devenir obligatoire dans le cadre des travaux sur l’affichage environnemental des produits de grande consommation (http://affichage-environnemental.afnor.org/).

Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter Claire Michaud : claire.michaud@rescoll.fr

Journée « Substitution de produits chimiques » à Lyon

L’Union des Industries chimiques Rhône-Alpes et le pôle de compétitivité Chimie-Environnement Axelera organisent une journée sur le thème :
« Substitution de produits chimiques les plus préoccupants : enjeux pour la chimie et ses secteurs aval, de la prise en compte de la démarche au développement d’alternatives »
La substitution des substances chimiques les plus préoccupantes est devenue l’un des enjeux majeurs de la prévention des risques chimiques. Elle est un des moteurs des évolutions technologiques permettant d’apporter des solutions à la fois plus sures pour la protection de la santé et de l’environnement, et plus efficaces contribuant ainsi à renforcer la compétitivité des entreprises. Elle est également devenue un enjeu de société.

LE VENDREDI 10 JUIN 2011 DE 8H30 A 17H00
La Cité des Entreprises
Salle Marius Berliet
60, avenue Mermoz
69008 Lyon
Vous trouverez le programme provisoire et le bulletin d’inscription en pièces jointes : programme détaillé 10 juin 2011

Continuer la lecture de « Journée « Substitution de produits chimiques » à Lyon »

Usages des résines biosourcées : quels développements ?

Les résines biosourcées sont au début de leur courbe d’expérience et constituent un groupe hétérogène de produits en termes de ressources, de propriétés, de maturité de développement, de capacités de production, d’usages et de marchés ciblés. Leur développement a relativement peu progressé dans les dernières années en termes de capacités mondiales (0,72 millions de tonnes par an en 2010, soit 0,3% de la production mondiale actuelle de plastique) alors même qu’elles font l’objet d’une attention croissante. Si les capacités pourraient atteindre 1,6 millions de tonnes d’ici 3 ans, nous faisons le constat depuis plusieurs années d’annonces de capacité de production croissantes, du développement du marché, et pour autant de capacités stagnantes.
Basé sur une cartographie mondiale des capacités actuelles de production et projetées à 3 années, puis sur l’étude des freins auprès des industriels utilisateurs, le rapport a pour objectif de comprendre ce qui freine aujourd’hui tant la demande que l’offre.
La réflexion menée dans cette étude est issue d’un processus incrémental basé sur l’identification de verrous pesant sur la filière française des résines biosourcées, ainsi que celle des leviers associés. En parallèle, un tour d’horizon des leviers incitatifs a été effectué dans les zones géographiques ciblées (États-Unis, Chine et Japon et Europe). En effet, parmi les pays membres de l’OCDE, les Etats-Unis et le Japon apparaissent comme leaders
en matière d’innovation et présentent donc des points de comparaison pertinents pour l’UE et la France. Les Etats-Unis ont de plus mis en place le « BioPreferred Program » misant sur l’exemplarité de l’Etat fédéral, sur une campagne importante de communication, sur une définition large des produits biosourcés, ainsi que sur la constitution d’une base de données sur base déclarative. La Chine a pour sa part été considérée au sein de cette étude pour des raisons économiques, mais également en raison des investissements qu’elle concède dans les filières de l’économie verte et qui la positionne d’ores et déjà comme un futur leader des économies « low carbone ».
Les réflexions menées ont alors permis d’identifier l’ensemble des verrous prioritaires agissant tant sur l’offre que sur la demande.
Pour plus d’infos : rapport_final_resines_biosourcees[1]