The PLACOTOP project : an innovative and sustainable composite material for stoppers

This project is the culmination of prior successful research at laboratory-scale. The project was considered satisfactory by the European Commission which has decided to co-finance the activity necessary for its complete development until its final commercialization and marketing phase.

Plastic stoppers are gaining ground in the annual market quota to the detriment of natural corks, due mainly to the price of the former being more competitive. Most manufacturers of plastic or synthetic stoppers are small and medium-sized enterprises located in Spain, France, Germany and Italy. Currently, the manufacture of plastic stoppers accounts for only 13% of the total market production – 20 thousand million stoppers annually – but with a projected increase in market share of up to 50% over the next ten years.

Plastic stoppers are inevitably increasing their presence on the wine market as well; nevertheless, some hybrid systems could help to maintain the presence and use of cork at the same time. Recently, certain partners involved in this proposal have developed a new composite material; the plastic part of the stopper is partially substituted by a material obtained from biomass. Thus, it provides a better use of natural resources. This new material provides a number of advantages, such as a lower price than cork and less density, less extracting force and better environmental performance than the plastic stoppers.

For more information : http://www.placotop.eu/

Les éoliennes confirment leur utilité lors de la vague de froid

Alors qu’un froid intense a touché la France et que les besoins en électricité atteignent des sommets, le parc éolien fournit une quantité d’électricité particulièrement importante et contribue de manière significative à l’équilibre offre demande.

Jeudi 2 février, alors que la température moyenne en France a été de – 4°C, le parc éolien a couvert en moyenne 4 % de nos besoins en électricité (taux atteint y compris lors de la pointe de consommation de 19h), en parvenant à des puissances de production de plus de 4000 MW : c’est l’équivalent de deux fois la puissance électrique consommée par la ville de Paris.

Cette production réduit d’autant le recours aux centrales thermiques (charbon, gaz et fioul), polluantes et au coût de production élevé, ainsi que les importations d’électricité. La situation actuelle démontre une nouvelle fois que les périodes de grand froid ne sont pas synonymes d’une absence de production éolienne. RTE l’avait constaté dès 2007 et le rappelle régulièrement depuis : « L’analyse météorologique à l’échelle nationale ne montre pas que les périodes de froid intense s’accompagnent systématiquement de faibles productions éoliennes ». Au contraire, la production éolienne est en moyenne plus élevée durant ces périodes.

Une nouvelle recrue pour l’équipe chimie durable de Rescoll !

L’équipe chimie durable de Rescoll s’agrandit encore avec l’arrivée de Blanca Palomo Losada en Janvier 2012 pour travailler sur une activité en plein essor, la formulation de polymères biosourcés.

Après une formation d’ingénieur chimiste de l’école « Escola Técnica Superior de Enxeñaría (ETSE) » en Espagne, Blanca a obtenu son titre de docteur en physique des polymères pour ses travaux réalisés avec la société Alstom Transport sur les résines thermodurcissables utilisées dans le domaine ferroviaire.

Ses connaissances pointues sur les résines epoxy lui permettront de se consacrer à la synthèse et la formulation de résines biosourcées plus respectueuses de l’environnement.

Son arrivée permettra ainsi à Rescoll de répondre à la demande grandissante de ses clients en matière de formulations de produits biosourcés et à ses collègues de se perfectionner en espagnol !

ACV – Revue Critique – ETV…: des évolutions importantes

Des évolutions importantes sont en cours d’étude par l’Union Européenne concernant la quantification de l’impact environnemental d’une éco-innovation. Actuellement et en réglé générale, cette quantification se fait par la réalisation d’une analyse du cycle de vie (ACV). Cette démarche, bien qu’importante, est autodéclarative : l’entreprise proposant l’éco-innovation fournit également une grande partie des informations permettant de réaliser l’ACV.

Une revue critique est certes imposée par la norme ISO 14040-44, mais elle concerne uniquement la forme et non  pas le fond. Ainsi, à ce jour, aucune réglementation, aucune norme, ne permettait de statuer sur la véracité des données fournies par une ACV, même lorsqu’elle avait subie une revue critique.

Avec l’ETV ou « Vérification Technologique Environnementale« , c’est chose faite. Ou plutôt, le sera lorsqu’elle sera appliquée. Elle permettra à une tierce personne, étrangère à l’ACV réalisée, de vérifier la validité des performances d’une éco-technologie et de fournir des valeurs crédibles et fiables.

Pour plus d’infos sur les 3 étapes d’une quantification de l’impact environnemental d’une éco innovation, téléchargez : Slides ACV-revue critique-ETV_190112 (2)