Corso Magenta présente la gamme de peintures écologiques XXInov®

Corso Magenta est une société d’innovation dans les revêtements de finition qui pré-fabrique un film de peinture en usine, appelé XXInov®, qui peut ensuite être transféré sur son support sous forme sèche. La dimension environnementale intervient dans l’ensemble de ses réflexions, et tous leurs produits entrent dans une démarche d’Analyse du Cycle de Vie.
Les produits XXInov® sont des « films » de peinture ou de vernis écologiques. Appliqués et séchés en usine, ils sont portés par une pellicule souple qui permet de les conditionner en bobines. Ils s’appliquent à leur support par collage mécanique ou manuel. Le procédé XXInov® ouvre des gisements de progrès spectaculaires en matière de respect de l’environnement :
Eco-conception des produits
Corso Magenta applique sur l’ensemble du cycle de ses produits  XXInov® une démarche continue d’éco-innovation :
•Au niveau de la production, les composants et matières premières sont rigoureusement sélectionnés ; nous contrôlons soigneusement le respect des normes environnementales françaises et européennes de nos partenaires industriels.
•Au niveau de la mise en œuvre, nous conduisons des études comparatives sur une batterie de critères sensibles (tel le relargage des COVs, le vieillissement et la résistance mécanique).
•Au niveau du recyclage des produits en fin de vie, nous étudions les solutions de dépose les moins impactantes.
XXInov® est moins polluant que les vernis et peintures liquides. L’impact environnemental constitue l’un des points noirs de la peinture mise en œuvre sous forme liquide. Sec et produit en usine, le film XXinov® présente un bilan écologique imbattable.

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EAGLE project : Guayule, a multipurpose crop as the solution to the shortage of natural rubber in Europe

The study “Economic Potential of Sustainable Resources – Bioproducts from Non-food Crops (EPOBIO)” supported by the European Commission has identified several strong reasons to develop an alternative supply of natural rubber (NR) for Europe with Guayule (Parthenium argentatum).
The EPOBIO report has concluded that the shrub Guayule has the greatest potential as an alternative source of rubber, and there is a need to develop improved extraction and processing technologies and take forward crop improvement.
Guayule will not only produce rubber, but also bioproducts of agro-resources according to bioraffineries concept, green chemistry and bioenergy.
Sustainable economic growth requires safe resources of raw materials. Today, most frequently used industrial raw material petroleum is neither sustainable, because limited, nor environmentally friendly. While the energy sector can be based on various alternative raw materials, the economy of products and polymers is fundamentally depending on plant biomass. Industrial utilization of raw materials from agriculture, forestry and green landscape care for the energetic, biotechnological and chemical industry is still at its beginnings. The EAGLES project is an example of the development of a bioraffinerie process which represents the key for the access to an integrated, economically feasible production of chemicals, materials, goods, and fuels of the future.

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Rescoll présent au congrès ACV de la plate-forme avnir

C’est 270 spécialistes de l’ACV (Analyse de Cycle de Vie) de tous les pays du monde qui se sont retrouvés la semaine dernière à Lille pour le congrès ACV organisé par la plate-forme avnir. Parmi ceux-ci on peut citer le CIRAIG (Centre interuniversitaire de recherche sur le cycle de vie de produits, procédés et services, Canada), le PNUE ( Programme des Nations Unies pour l’Environnement), The Sustainability consortium (USA), Renault, Unilever, Oxylane,  et… Rescoll !

Ce fut pour Rescoll l’occasion d’échanger avec les autres spécialistes du domaine sur les applications, impacts et tendances de l’ACV dans le monde économique et les politiques publiques, d’assister à des témoignages d’entreprise ayant mis en oeuvre des projets d’éco-conception, de nouer de nombreux contacts pour de futurs projets et biensur de rester à la pointe en matière d’évaluation environnementale.

 

Global Guidance Principles for Life Cycle Assessment Databases

As products and services have become more geographically diverse in their resources, manufacturing and assembly operations, usage, and final disposition, the need for LCA users to obtain data that accurately and consistently measure the resource consumption and environmental aspects of those activities has never been more acute. Providing a sound scientific basis for product stewardship in business and industry and for life cycle–based policies in governments ultimately helps to advance the sustainability of products and society’s economic activities. For the past two decades, databases have been developed, maintained, and updated by different general database providers, by academics and researchers, by industry sector database providers, and by industry internal groups. The primary basis for development of global guidance principles is the belief that agreement on recommended practices for data collection, modeling, aggregation, and insertion in databases exists for a large percentage of the aspects to be addressed. Thus, the workshop that resulted in this global guidance principles document focused on getting consensus on aspects where prior agreement was not achieved.
In early February 2011, forty-eight participants from 23 countries gathered in Shonan Village, southeast of Tokyo, Japan, for the Workshop on Global Guidance Principles for Life Cycle Assessment Databases, a Pellston workshop (informally to be known as the “Shonan Guidance Principles Workshop”) to develop principles for creating, managing, and disseminating datasets for the purpose of supporting life cycle assessments (LCAs) of globally produced products and services. The Pellston format, established by the Society of Environmental Toxicology and Chemistry (SETAC) in the 1970s and used since in some 50 workshops worldwide, strives for a consensus approach among a diverse group of experts. Strict groundrules on the conduct of the workshop and the participation of the attendees were enforced to allow for an open, honest, objective, and individual (rather than organizational) forum. The results of the workshop presented in this report reflect only the views of its participants : Global-Guidance-Principles-for-LCA

Un nouvel outil d’ACV pour Rescoll : GaBi

Afin de satisfaire encore plus largement aux besoins de ses clients en matière d’évaluation environnementale, Rescoll a décidé d’investir dans l’outil GaBi distribué par la société PE International.

Il vient ainsi s’ajouter aux outils Simapro et Ev-DEC déjà utilisés par Rescoll pour son activité éco-conception.

Gabi est très utilisé dans les secteurs de l’automobile (Ford, Audi, Opel, Renault, Smart, Faurecia, Fiat,..), de la chimie (BASF, Ciba, Dow,…) et bien d’autres encore.

L’acquisition de GaBi et la formation de deux personnes permettra ainsi à Rescoll :

  • de réaliser des ACV (Analyse de Cycle de vie) compatibles avec l’outil GaBi,
  • d’utiliser les bases de données de PE International régulièrement mises à jour et ainsi d’augmenter la précision de ces études,
  • de proposer à ces clients de nouveaux outils tels que le i-Report qui permet notamment de réaliser un grand nombre de déclarations environnementales dans un temps optimisé,
  • de se projeter dans la réalisation de nouvelles prestations tels que le waterfootprint.

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter claire.michaud@rescoll.fr.

Vers des avions plus légers : le projet eT-Bond permet de coller des pièces structurales en composites

En présence de l’ensemble des partenaires (voir photo) et des institutionnels co-financeurs (OSEO pour la DGCIS, Conseil Régional d’Aquitaine et Conseil Général du Val d’Oise), lundi 17 Octobre a eu lieu la réunion de lancement du projet eT-Bond, projet labélisé par le Pôle Mondial de Compétitivité AESE.
Le projet eT-Bond poursuit l’objectif du développement d’une gamme d’adhésifs conducteurs de l’électricité et de la chaleur pour l’assemblage structural de matériaux composites carbone/époxy et composites thermoplastiques, soit entre eux, soit sur des alliages métalliques légers. Si l’on considère que certains ensembles ou sous-ensembles métalliques pourront, partiellement ou totalement, être remplacés par des pièces en composites conducteurs et assemblés par des adhésifs conducteurs, le projet est pertinent vis-à-vis d’un respect de l’environnement du fait qu’il participera à une réduction de masse des aéronefs et, donc, à la réduction de la consommation en carburant de ceux-ci. L’impact réel de ce point sera quantifié dans le cadre du projet par la réalisation d’une Analyse du Cycle de Vie (ACV) des systèmes développés.

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Les premiers exemples d’affichage environnemental produit !

L’information du consommateur sur les impacts environnementaux des produits : une mesure forte du Grenelle avec comme double objectif :

  • donner le pouvoir d’agir aux consommateurs en leur permettant d’intégrer le critère de qualité environnementale dans leurs choix d’achat,
  • inciter les entreprises à améliorer leurs produits en leur donnant des indicateurs de performance environnemental.

Un affichage qui prend en compte le cycle de vie des produits et leurs principaux impacts :

  • à chaque étape de son cycle de vie (depuis l’extraction des matériaux qui le composent jusqu’à son élimination final, en passant par sa fabrication, sa distribution et son utilisation), un produit peut générer des impacts sur l’environnement : avoir une vision globale nécessite donc de prendre en compte toutes les étapes,
  • une approche multicritère : épuisement des ressources, pollution de l’air, de l’eau ou des sols, atteintes portées à la biodiversité, les impacts d’un produit peuvent être multiples et on ne peut se limiter au seul changement climatique.

Ainsi, par exemple, pour une lessive, l’impact sur le changement climatique est important mais mérite d’être complété par une information sur son impact sur la qualité de l’eau en matière d’évaluation globale afin d’éviter qu’en cherchant à réduire un impact (le changement climatique), on en détériore d’autres (en l’occurrence, la pollution des eaux).

Il en est de même pour les produits d’origine agricole : il faut lutter contre le changement climatique, sans pour autant oublier la préservation de la biodiversité, la qualité de l’eau…

Plus globalement, c’est le critère de sobriété en terme de consommation de ressource qui apparaît essentiel, tant en terme de ressources non renouvelables que d’espace ou encore de biodiversité…

Voici les premiers exemples d’affichage sortis cet été par les entreprises engagées dans l’expérimentation : http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Exemples_illustrations_au_1er_juillet_2.pdf

Combien coute mon café en termes d’énergie?

Les cafetières électriques ne sont pas les appareils les plus gourmands, électriquement parlant, de la maison. Cependant on sait aujourd’hui que l’ensemble des 18 millions d’unités de ces appareils domestiques européens consomme annuellement 17 térawatt.h. De ce fait, la Commission Européenne, dans le cadre de la directive Eco-Design 2005/32/EC, a commandé une étude à la société BIS pour essayer de réduire cette consommation électrique.
L’étude compare les consommations des différents types de cafetières, d’une durée de vie estimée entre 6 et 10 ans, et conclut sur le fait que la plupart des impact environnementaux ne proviennent pas des matériaux utilisés mais de leur utilisation : c’est à cette phase qu’elles génèrent 90% des impacts liés à l’énergie, l’eau ou les émissions de CO².
Pour son utilisation, une cafetière consomme en moyenne entre 113 et 195 kWh par an, mais cette consommation se fait majoritairement pendant les phases de “stand by”  ou “ready to use” en non pas pendant la préparation du café une cafetière expresso semi-automatique pourrait dépenser 91 kWh par an pour préparer le café auxquels il faudrait ajouter annuellement 104 kWh lorsqu’elle se trouve en position “ready to use”.
Mais quelle serait donc la meilleure option pour préparer mon café?  L’étude d’en dit rien mais l’Institut d’Ecologie Appliqué allemand Oko-Institut a analysé l’impact environnemental des différentes méthodes (électriques ou pas) de préparer un café.
 Elle conclut que la cafetière manuelle à piston (la plus simple : un récipient en verre, avec un filtre séparant l’eau chaude  du café) est la plus environnementalement responsable.
La pire ? La cafetière à capsules, bien sur, car il faut tenir compte des déchets produits.
Petit bémol pour cette étude : elle avait été commandée…. par un fabricant de cafetières à piston !!
Pour avoir une copie de la première étude, contacter : claire.michaud@rescoll.fr

Un nouvel outil d’évaluation environnemental pour Rescoll

Face aux demandes de ses clients, Rescoll a décidé d’aquérir un outil d’aide à la réalisation des FDES, les Fiches de Déclaration Environnementales et Sanitaires.

Il s’agit du format de communication national sur les caractéristiques Environnementales et Sanitaires des produits de construction et de décoration ou, en d’autres termes, de la carte d’identité environnementale d’un produit.

Ces fiches sont par exemple demandées lors de la conception de bâtiments HQE (Haute Qualité Environnementale) et de plus en plus de fabricants de produits de construction en dispose. Ceci s’explique notamment par le fait que leur diffusion pourrait devenir obligatoire dans le cadre des travaux sur l’affichage environnemental des produits de grande consommation (http://affichage-environnemental.afnor.org/).

Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter Claire Michaud : claire.michaud@rescoll.fr

Projet Européen PLACOTOP : réunion chez TECNALIA

Courant avril les partenaires du projet européen PLACOTOP se sont réunis chez TECNALIA afin de faire le point sur les avancées du projet 6 mois après le début de celui-ci.
Le projet PLACOTOP poursuit l’objectif de la mise au point d’un bouchon pour vin avec une technologie innovante alliant le liège à des matériaux synthétiques très avancés.
RESCOLL a exposé les travaux réalisés sur le contact alimentaire des bouchons et les effets organoleptiques de ceux-ci. De même, Claire Michaud, ingénieur environnement chez RESCOLL a fait état de ses travaux sur l’Analyse du Cycle de Vie comparative qu’elle est en train de mener sur les différentes générations et types de bouchons (naturels, agglomérés, synthétiques, composites,…) afin de quantifier l’impact environnemental des solutions mises au point.